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Document du mercredi 8 juin 2016
Article mis à jour le 28 mai 2012
par  P. Valas

Jean-Jacques Moscovitz face au livre de Gérard Haddad

Lumière des astres éteints « La Psychanalyse face au Camp »
Face au livre de Gérard Haddad, par Jean-Jacques Moscovitz Moscovitz (Psychanalyse Actuelle)

En réponse à...

lundi 10 septembre 2012 à 16h37 - par  Barneaud

je m’excuse de devoir choquer, mais pour un « non juif », la « shoah »(génocide) ne commande que le silence, mais non pas parce que se serait « impensable » (comme toute « action » humaine elle doit l’être sans doute et malheureusement) mais parce que le silence s’impose, peut-être si Dieu existe.
Si l’on se place en dehors du champ moral ou religieux, et en particulier celui du peuple juif, car tous les hommes sont concernés, cet horrible crime peut être « pensé », formulé en référence à la pensée criminelle d’Hitler, et en référence à la machine de guerre du IIIe Reich qui dans le cadre de sa guerre totale pensait aussi les slaves comme des sous-hommes.
Ce qui nous parait plus cruel, sans doute, c’est qu’en voulant supprimer l’existence du peuple juif européen il touchait au cœur d’une de nos racines humaine européenne et donc, même aux yeux des non-croyants, au peuple qui représentait le Père et tout ce que cela représente comme humanité vivante.Cela accentue la douleur.

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