dimanche 8 janvier 2012
à 23h10
- par Bernadette Quentin-Collin
comme quoi FB mène à tout, suite à votre lien contrepoint « Les ordures blanches » j’ai interrogé Les Âmes vivantes de Gogol « Véronique Hervouët » et suis de nouveau tombée sur votre site, article long mais très intéressant, pour moi seule en mail je me suis envoyé le lien et aussi ai fait quelques recopiages-recollages pour pouvoir y revenir
De même les « ordures b » était intéressant, Le Mépris !
en échange un petit texte découvert hier et comme il m’en manquait la suite lecture poursuivie ailleurs aujourd’hui dimanche car j’avais le nom de l’auteur du « corps mutilé »…De la démocratie Corps au travail. Gilles Gourc. Corps mutilé.« Hassine, ses collègues d’usine, Le Carpaccio, le formateur, la machine, le corps machine, la sciure de bois, qui est le plus heureux G. ou R. ? »… désormais ce que nous sommes et ce que nous serons : des corps utiles auxiliaires des machines. Pour ceux qui n’auraient pas compris, les machines sont là pour nous le rappeler…« —) »…Quelquefois, on en vient à souhaiter l’abrutissement définitif, la lobotomie.
…Comment dire ces choses que la pudeur virile des ateliers interdit ?
…Il l’attend tellement sa retraite que « le jour où j’arrête de travailler, je prends ma caisse et je jette tout à la mer ».
Et pourtant… Pour peu qu’on lui prête une oreille attentive, on peut aussi entendre une autre petite musique ; celle de ceux qui ont été réduits toute leur vie à leur corps et qui voient avec angoisse leur capital-corps diminuer. La classe ouvrière n’est riche …
…Le jour de sa retraite, Edmond veut jeter sa caisse à outils à la mer ; reste à ne pas sombrer avec sa caisse."
http://www.lekti-ecriture.com/contr…
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